Itachi ~~ Sasuke ~~ Gaara
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Pour papotter avec mes copines :D Sasu powaaaa
 
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 Cette toile que je ne finirai jamais...

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2 participants
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Crazyitachi
Genin
Crazyitachi


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MessageSujet: Cette toile que je ne finirai jamais...   Cette toile que je ne finirai jamais... Icon_minitimeLun 8 Déc - 21:51

Kikou les Namis!
Bon voici le prologue de ma première vraie longue fic!
Applause please!
Vous êtes donc dans le monde de Naruto alors qu'Itachi à 4 ans, à peu près. dans le prologue, vous remarquerez qu'il n'en a pas 4, mais c'est pour après le prologue, hein!
Bon, Eliça Fan, que vous verrez, est un nom arabe je crois, pour un ange, qui veut dire Dieu le protège. Dieu, Yavhé ou Allah, j'en sais rien mais une puissance supérieure! Et le premier qui me parle de Jashin je le butte!
ATTENTION SPOIL



Cette toile que je ne finirai jamais…

Cette toile que je ne finirai jamais…

Prologue

« Comment en est-on arrivé là ? »
La voix du jeune homme aux cheveux d’ébène résonnait encore dans la pièce insalubre et exiguë où il se trouvait ; en compagnie d’une autre personne. Cette femme, car c’en était une, était dans une cellule, le visage coupé de barreaux de métal aux yeux du jeune homme connu sous le nom d’Itachi Uchiha.
Il avait de longs cheveux d’un noir d’encre noués en une queue-de-cheval lâche dont les mèches trop courtes pour être attachées, parsemaient çà et là sont visages fin et clair. Ses yeux en amande étaient eux aussi noirs même si par moments, on les voyait presque ambre à cause de la lumière.
Il portait une veste d’Anbu grise qui lui enserrait le torse et à sa main, il tenait un masque de faucon. Dans son dos était accroché un katana à la lame probablement tranchante, car la qualité ne faisait aucun doute quand on regardait de plus près le fourreau.
Itachi Uchiha ne semblait ni nerveux, ni même seulement vivant. Dans l’obscurité du lieu, sa froideur et sa saleté, même la voix étrangement glaciale et douce, ne faisait pas l’effet d’un point noir au milieu d’une toile blanche.
C’était elle le point noir, s’il en fallait un.
Elle était vêtue d’une robe fendue bleu ciel par-dessus un pantacourt blanc. Une ceinture de tissu était nouée autour de sa taille et, une écharpe de la même couleur que sa ceinture, c’est-à-dire indigo presque noir, reposait doucement sur ses épaules. Une cape d’une blancheur immaculée ornait son dos, mais une large tache rouge rappelant à s’y méprendre à du sang, imbibait le vêtement en partant des omoplates.
Son visage en forme de lame et à la peau claire était encadré d’une lourde tresse non nouée d’une couleur d’argent rehaussée par le violet profond de ses pupilles. Sa clarté de teint donnait un effet de clair-obscur peu commun à la toile que pouvait être cette situation.
En plus court, elle faisait tache.
« Comment en est-on arrivé là ? »
L’Uchiha se répétait. Mais cette phrase dénuée du moindre sentiment ne semblait pas s’adresser à son interlocuteur mais plutôt à lui-même.
Elle souriait.
« Nous nous connaissons depuis si longtemps…
-C’est justement pour ça que tu dois le faire.
-… »
Elle étouffa un petit rire amusé devant le mutisme d’Itachi. Depuis son enfance, il réagissait toujours comme ça quand quelque chose l’agace ou ne se résout pas de lui-même. Elle commençait à le connaître par cœur depuis le temps.
Itachi aurait voulu répondre, s’il avait seulement eu les mots adéquats. Il était très rigoureux, et cette situation si singulière ne lui permettait pas d’être aussi sûr qu’en temps normal. Pour tout dire même, il aurait voulu ne jamais l’entendre dire qu’il devait le faire.
Cela rejoignait les idéaux belliqueux de son père. Et il haïssait son père pour cela.
Il porta sa main à un des barreaux et posa son visage contre le froid métal. Il plongea son regard dans celui de la jeune femme toujours souriante et déclara :
« Veux-tu donc tant que je te tue, Eliça fan ? »





CHAPITRE
Un retour difficile

« Itachi ! Itachi où es-tu ?! »
Une jeune femme aux longs cheveux noirs courait à travers ce qui semblait être un champ de bataille. Elle courait à en perdre haleine.
Au beau milieu des cadavres, des odeurs de soufre des explosions et du silence de la mort, se tenait un petit garçon.
Il n’était pas bien grand ; quatre ans tout au plus. Il se tenait debout, comme un épouvantail à la seule différence qu’il n’était pas là pour effrayer les oiseaux.
Ses habits noirs brillaient. Ils reflétaient le sang séché. Et, à le voir, il devait avoir beaucoup baigné dans le liquide mortel…
Son regard était vide, terriblement vide. Des larmes coulaient sans discontinuité sur ses joues d’enfants rosies. Mais pas rose par la jeunesse, rose par le sang.
Ses petites mains perdant à peine les rondeurs des petites mains potelées des bébés tenaient un kunai. Il était rouge lui-aussi.
Il regardait d’un œil presque blasé l’homme à ses pieds. Il avait un bandeau d’un village ennemi. Le petit garçon ne connaissait pas le sigle sur le bandeau. Les yeux de l’homme étaient injectés de sang, sa bouche déformée par la douleur semblait sourire, sa peau était parsemée d’entailles dont l’une avait causé l’enclenchement de sa mort. Il râlait. Douleur. Mort. C’est tout ce que l’enfant voyait.
Il leva ses yeux, espérant fébrilement découvrir n’importe quoi d’autre, mais il tomba sur un autre cadavre. Un kunai lui traversait la tête. Son expression était si indescriptible que le garçon ne fut que marqué par cette vision. Il ne mit jamais un mot sur tant d’horreur. Juste des images, beaucoup d’images. Des visions fugaces de l’Enfer.
L’enfant se refusait à comprendre. Il ne pouvait comprendre que c’était son petit bras à peine plus grand que 50 centimètres qui les avait tués. Par ailleurs, ce n’était pas lui le meurtrier. S’il fallait rejeter la faute, il aurait fallu la donner à un seul mot : la guerre.
Il semblait que c’était un champ de bataille, mais en fait, ce n’est rien de plus qu’un cimetière géant après la rixe.
« Itachi, enfin je te retrouve ! Tu n’as rien ?! Tu vas bien ?! »
La jeune femme s’était précipitée auprès de l’enfant et l’avait enlacé tendrement. Elle ne se souciait pas du sang le moins du monde. Elle le berçait doucement, le réconfortant de caresses et des mots chaleureux que seule une mère peut offrir à son enfant.
Itachi ne semblait même pas réagir à cet amour. Il était resté dans cet autre monde. Ce monde où vivre signifie tuer. Il n’arrivait pas à se dire que vivre c’était ça. Il devait y avoir erreur ! Pourquoi faudrait-il tuer pour vivre ? Toutes ces questions, mêlées aux images ancrées dans sa tête comme un album souvenir, empêchaient catégoriquement le petit garçon de redescendre sur la terre ferme. La voix douce de sa mère se confondait au vacarme de la bataille auquel se succédait le silence oppressant de la mort et la douce odeur de ses cheveux ne différait pas de celle du sang séché.
Tout ce qu’il avait le malheur de regarder revêtait les formes de la guerre, se paraît de ses plus beaux atouts, de ses plus belles parures, nommées respectivement horreur, détresse et mort.
Sa mère, Mikoto, voyant son absence de réaction, le prit dans ses bras, inquiétée. Elle se redressa, son fils unique tout contre elle. Il passa fébrilement ses petits bras autour du cou de sa maman et continua de pleurer, silencieusement.
Il n’avait toujours pas lâché le kunai.
Mikoto commença alors à marcher vers le manoir Uchiha. Elle évitait soigneusement de marcher sur les corps déjà profanés par les corbeaux. Itachi observait ces oiseaux noirs d’un œil absent toujours noyé de larmes. Même cet emblème de malheur lui donnait envie de s’envoler loin de cet endroit.
Quand ils s’arrêtèrent enfin, c’était à leur demeure. Là, les survivants du clan attendaient les blessés avec les médecins. Exceptionnellement, l’hôpital avait élu domicile chez les Uchiha en raison du trop-plein de shinobis blessés. Encore une fois, le petit garçon observa à travers ses larmes.Il y avait la section vers la droite pour les shinobis plus ou moins mutilés, celle qui partait vers le temple pour les cas critiques et la dernière, celle qui partait vers sa maison pour les condamnés.
Ce qui frappa le plus le petit garçon était les cris et les complaintes qu’il entendait. En tendant l’oreille, il finit même par entendre un chant d’une telle beauté et d’une telle douleur qu’il pensa que ça devait être de l’art. Il apprit beaucoup plus tard que c’était ce que l’on appelle une élégie. En l’occurrence, une élégie à un mort.
Elle continua sa route vers la cour principale. L’effervescence qui y régnait n’affolait pas Itachi. Il n’était toujours pas revenu. Il pleurait toujours et était encore silencieux. Puis, sa mère le déposa et le regarda dans les yeux.
« Itachi, parle-moi, murmura-t-elle doucement, est-ce que tu as mal quelque part ? »
Les grands yeux noirs du garçons semblèrent enfin prendre vie. Mais ce fut pour prendre une expression de peur. Il venait de comprendre que tout cela était vrai. Que c’était sa réalité. Soudainement, une intense douleur lui traversa la poitrine. Il n’était pas blessé pourtant. En réponse à la question de sa mère, il voulut poser sa main sur son cœur mais se retînt.
Il ne comprit jamais pourquoi il l’avait fait et en guise de réponse se contenta d’un non de la tête.
« Dieu soit loué, souffla la mère, maintenant, il faut retrouver ton père… »
Mikoto sourit en se retournant. Il était là, en pleine forme visiblement. Il était de forte carrure et d’une présence importante. Son visage était froid et il ne semblait même pas heureux de retrouver son fils héritier et sa femme. Il esquissa un sourire presque cynique en regardant son fils.
« Un homme ne pleure pas, lâcha-t-il simplement. »
Itachi s’arrêta.
« Tu es bien mon fils. »
Ce que le père ne sut jamais, c’était que son fils ne s’était pas arrêté sur son ordre. C’était la froideur et la dureté de sa voix qui l’y avait encouragé. Après toutes les horreurs qu’il avait vues et ancrées dans sa mémoire, il ajouta un père glacial sans la moindre once de gentillesse pour son fils traumatisé.



Alors? La question étant : Pensez-vous que prendre le nom de l'ange tutélaire du réconfort serait plus judicieux? Celui de la protection, c'est Eliça Fan: Dieu le protège et celui du réconfort c'est Nahamiel: que dieu console. Sachant que le premier protège plutôt les gens ayant un rapport avec la nature et les lieux où vivent les hommes alors que l'autre protège tous ceux qui vouent leur vie aux autres.


Dernière édition par Crazyitachi le Mar 9 Déc - 23:44, édité 3 fois (Raison : Chapitre 1)
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kazekage-girl
Genin
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Humeur : déprime sa fait je sais pas combien de temps... saloperie de Bac !!!!
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MessageSujet: Re: Cette toile que je ne finirai jamais...   Cette toile que je ne finirai jamais... Icon_minitimeMar 9 Déc - 16:14

OUI !! Ca vaut plus que la peine de continuer !! Pas de doute la dessus ne serait-ce que pour qu'on comprenne mieu ce qu'il se passe Smile

J'adore ta façon d'écrire je trouve ça drôlement bien et... j'ai pas d'idées pour la suite xD
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